guerre
Aubes, de tranquillité sous l'ombre d'un chêne,
Les narines chatouillées par la brise sereine.
Rayons du soleil éclairant la nature,
Taches vives et colorées tapissant la verdure.
Ecoutant le gazouillement parmi les frondaisons frissonnantes,
Au lin, la fraîcheur de l'eau murmurante.
Soudain, l'éclair jaillissant des cieux,
Foudroyant, il annonce le malheur qui aura lieu.
Un ouragan de métal dévastateur,
Des cadavres éparpillés fanant les fleurs.
Finie la tranquillité, finie la beauté,
Voici la misère et la pauvreté.
L'obscurité bâillonnant l'enfance,
De peine et de souffrance.
Dans la nuit pourtant les milliers des étoiles,
Sont symboles d'espoirs.
écrit par : l'atelier de poèsie de la fondation banque populaire